Déclin cognitif lié à l’âge
Avec le temps qui passe, les années qui s’écoulent, nous perdons quelques facultés mentales de façon naturelle. C’est donc normal que de petits oublis soient plus fréquents chez les personnes âgées. Cependant, des limites doivent être prises en compte pour définir s’il s’agit d’une réaction normale ou anormale. Les troubles cognitifs sont très courants chez les personnes âgées et plusieurs troubles connexes sont des manifestations de ce phénomène. Des traitements sont désormais fiables pour maîtriser la situation d’une personne atteinte.
Les symptômes d’un déclin cognitif
Quand une personne souffre d’un déclin cognitif, les symptômes sont variables selon la partie touchée dans le cerveau. Les personnes atteintes peuvent avoir un trouble de la mémoire, c’est-à-dire qu’elles sont victimes d’un ralentissement de la pensée, ce qui entraîne entre autres une difficulté dans la sphère de la communication. Un déclin cognitif peut se distinguer en deux cas différents : le premier est la manifestation légère, comme oublier de faire les choses que d’habitude on n’oublie jamais. En effet, le patient qui souffre d’un léger déclin cognitif peut toujours vivre normalement et pratiquer ses activités quotidiennes. Or, il y a des cas où les personnes atteintes ne peuvent plus vivre une vie ordinaire parce qu’elles sont désorientées dans le temps et dans l’espace et peuvent en arriver jusqu’à confondre leurs proches.
Les causes et les personnes vulnérables
En général, le trouble cognitif est causé par le vieillissement. Des études sont menées pour savoir si durant ses jeunes années, la personne a pu hériter d’une génétique infectée, ou au cours de son parcours de vie, a-t-elle pu renforcer sa santé cognitive ? L’avancement en âge n’est pas le seul facteur responsable d’un déclin cognitif, il existe plusieurs causes que beaucoup de personnes ne connaissent pas encore. L’abus des drogues et d’alcool peuvent affaiblir vos capacités cognitives, ce sont les facteurs d’amnésie et de delirium. Le déclin cognitif peut aussi avoir une origine médicamenteuse. Si le trouble est lié à l’âge, les personnes atteintes peuvent être traitées. Le mieux étant de prévenir.
Traitement et précaution
Dès l’apparition du premier symptôme, il faut consulter un médecin spécialiste pour faire des analyses avant de confirmer la présence du phénomène. La détection d’un déclin cognitif se fait grâce à quelques tests comme les MMS, ce traitement est parfois recommandé par un neurologue ou un gériatre. Le ralentissement de cette maladie est possible avec des traitements fiables, il vaut mieux intervenir le plus vite possible. La prise en charge consiste en un traitement médicamenteux, les médicaments donnés par le médecin dépendent du cas du malade et des causes du déclin. Pour assurer la guérison, l’entourage de la personne doit être très attentif afin de bien vérifier ses prises de médicaments. Il existe des exercices pour faire travailler le cerveau sur la mémoire, un neurologue pourra vous orienter vers un professionnel pour effectuer ce type d’exercices.
Pour conclure, le déclin cognitif est donc un phénomène perturbateur du mental. Il peut s’aggraver avec les années si l’on ne fait rien, l’idée étant de le ralentir au maximum. Si l’on ne le maîtrise pas dès le début, la maladie peut devenir handicapante, comme la maladie d’Alzheimer. Préservez dès maintenant vos techniques nutritionnelles en visant un grand renforcement cognitif. En cas de besoin, contactez un spécialiste.
0 commentaires