Le refoulement était le premier mécanisme de défense identifié par Freud et il pensait que c'était le plus important. Tout le processus de la psychanalyse freudienne reposait sur l'idée que la mise en conscience des sentiments inconscients pouvait conduire au soulagement de la détresse psychologique.
Le terme « refoulement originaire » se réfère à un processus théorique, considéré par Freud comme le moment d’origine de la répression. Ce concept a pour objectif d’éviter le mécontentement et de protéger un individu contre les désirs nuisibles qui peuvent causer de la douleur ou de l’anxiété.
Chaque individu est amené dans sa vie à traverser des moments particulièrement frustrants. Ce sont des évènements bouleversants qui nous donnent l’impression que plus rien n’a d’importance. C’est dans ces instants-là que la pulsion de mort prend place et se réaffirme en tant que pulsion de base. En effet, elle motive chacune de nos actions.
Pour Freud, la pulsion est un processus dynamique désignant la limite entre le psychique et le somatique. En d’autres termes, la pulsion s’apparente comme des excitations intérieures et s’imposent au psychique du fait de son imbrication au corps. Cela signifie que les pulsions permettent de mettre en évidence les conditions liées à l’émergence de la vie.
La définition de la psychologie préconsciente utilise la théorie psychanalytique comme sa « base ». Freud l’a beaucoup utilisé pendant de nombreuses années avant de développer l’idée du ça, de l’ego et du surmoi comme les trois parties de la psyché.
Avez-vous déjà eu une envie soudaine de faire quelque chose, que vous saviez ne pas être approprié à la situation ? Peut-être arracher un vêtement d’un magasin et sortir sans le payer ? Avez-vous donné suite à cette envie ? Probablement pas, mais qu’est-ce qui vous a empêché de le faire ? Selon Sigmund Freud, il s’agit de ce qu’il a appelé « principe de réalité ». Ce principe vous permet de ne pas faire des choses qui pourraient vous attirer des ennuis.
Le principe du plaisir est un terme utilisé à l’origine par Sigmund Freud pour caractériser la tendance des gens à rechercher le plaisir et à éviter la douleur. Freud a fait valoir que les gens fassent parfois de grands efforts pour éviter même une douleur momentanée, en particulier en période de faiblesse ou de vulnérabilité psychologique.
La psychose se définit comme une obsession ou une idée fixe dans un langage courant. Mais sur le plan médical, cette notion s’appréhende différemment suivant les disciplines. Si de manière générale, le mot psychose se réfère à la folie, c’est parce que c’est littéralement une maladie mentale jugée grave. Les psychotiques souffrent alors de déconnexion, qui peut être temporaire, à la réalité mais dont les manifestations diffèrent. C’est sur cet axe que la psychiatrie trouve son domaine. Par ailleurs, des doctrines et des théories sont émises par divers psychanalystes à ce sujet.
La perversion est un type de comportement humain qui s’écarte de ce qui est considéré comme orthodoxe ou normal. Bien que le terme perversion puisse désigner diverses formes de déviations. Il est le plus souvent utilisé pour décrire des comportements sexuels considérés comme particulièrement anormaux, répulsifs ou obsessionnels.
La théorie des relations d’objet est une émanation de la théorie psychanalytique. Il met l’accent sur les relations interpersonnelles, principalement dans la famille et en particulier entre la mère et l’enfant.